Oyez mon damoiseau, oyez ma demoiselle
La belle et triste histoire des amants de cour
Du beau chevalier et sa gente donzelle
Qui s’aimaient tendrement d’un sentiment si pur
Qu’il déclencha l’ire de ces nobles autour
Chassés par la belle, lui cherchèrent vindicte
Notre ami, aussitôt, en cage de granit
Fut mené prestement sous l’accuse d’outrage
Gagner la liberté, le marché fut offert
De partir en exil qu’il consente au voyage
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
Pleine de sentiments, l’histoire serait belle
Si la croix d’Agadez, au symbole impur
D’un amour sans limites sculpté sur la stèle
Ne torturait La femme, en la brimant si dur
Dans cette vraie prison qu'est cette haute tour
Où l’on lave son âme à grands coups d’eau bénite
À plier son esprit, langoureuse Lilith,
Ils s’ingénient en vain les gens de son lignage
S’opposant à l’union du fils du désert
Voulant forcer l’insoumise à suivre l’usage
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
Là-bas, à l’horizon, gardé par sentinelle
Se morfond son amant dans ce lointain séjour
Astreint à l’interdit s’impose à cautèle
D’ainsi franchir le seuil de son cachot obscur
Revoir enfin le ciel et l’astre dans l’azur
Traverser la plaine et mener sa conduite
Dans les bras tant aimés de sa chère Brigit
Qui l’attend sagement en bravant l’esclavage
De cette démence qui l’enchaîne à ce fer
D’une vétuste loi qui se voudrait l’adage
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
Au foyer de l’édit, la demande éternelle
Sur l’autel de Tanit, brûle un cœur fou d’amour
Sur ces mots, là, écrits, destinée cruelle
De cet état maudit, la promesse qu’un jour
Ils vaincront ce destin qui rend le coeur si lourd
Grâce à cette foi qui, en ces lieux de l’invite,
L'encourage, aujourd’hui, à supplier Tanit
D’accéder à son vœu, consentir au mariage
De ce cœur malheureux qui a assez souffert
Des revers de la vie depuis son plus jeune âge
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
La déesse approuva la demande formelle
Des amants contrariés déclenchant en retour
Une tempête si violente et si mortelle
Que l’ange de vengeance sillonna le bourg
Faisant tant de dégâts qu’on eut dit le labour
D’une armée de démons n’ayant de suite
De couvrir l’horizon de morts jusqu’au zénith
Si grande tragédie fit pencher le suffrage
Et la voix s’éleva en un seul grand concert
Des amants, le pays, ne voulait le partage
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
Les jaloux, pas contents, leur envie, la poursuite
Fomentèrent sous forme d’un bol d’aconit
Présenté en cadeau tel savoureux potage
Oublier les injures et le temps d’orage
À sa joie, il n’huma le léger goût d’amer
Et bientôt s’effondra, le front dans son corsage
Sans, de l’autre, l’amour, la condamne à l’enfer
Je t'aime ma douce Princesse Aurore
Commentaires
bonjour, bonjour
j'espère que tu vas bien
je profite de ma journée de repos , malgré la pluie ....
je peux donc passer te faire un petit coucou un peu plus tôt
passe une très belle journée
bisous, Patou
Coucou c’est moi Sb
Je viens te souhaité une très bonne journée avec ce temps pourri, il pleut, il pleut, et il pleut
Et oui bientôt les fêtes attention a ne pas trop boire, il y a un proverbe qui dit
Qui boit sans soif Vomira sans effort.
Bonne journée, bon courage
Gros bisousss
Amitié Sb
coucou mon amour
passe une belle journée
passe une belle nuit mon amour fais de beaux reves
tu me manques trop
je t'aime
gros bisous
Me voilà rentrée bien au chaud
j'espère que tu vas bien et que ta journée a été agréable
je passe te souhaiter une belle soirée toute en douceur
bisous, Patou